Message from the president: Networking and education drive success

by tanya_martins_2 | November 26, 2024 3:39 pm

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I’m often asked: “Where do you find the time to volunteer for CSC?” My answer: because my boss told me to.

Kidding aside, it’s not really a question for me—I make the time for CSC. Why? The association has given me so much throughout my career. It has provided me with lifelong friendships, helped me excel in my work, and offered me invaluable education and experiences. I hope to pass these on to others as they were passed on to me.

At the AGM, I shared that one of my key mandates during my term—and beyond—is a focus on education and certification, which go hand in hand—like the “Married with Children” theme song says, “You can’t have one without the other.” Their value in our industry is undeniable, and CSC leads the way in both. Our courses and certifications are top-notch, and the learning extends beyond formal education through daily interactions with members. Truly priceless.

I’d like to share three short personal stories related to this.

If you’ve seen my video on the CSC website, feel free to skip this paragraph. My first CSC dinner meeting was in early 1997, shortly after I entered the industry. I was seated between two influential specifiers, Sandro Ubaldino and Don Shortreed. They generously took the time to introduce me to several people, helping lay the groundwork for future connections.

Another time, while travelling for work, I had some free time between appointments and decided to try the dreaded “cold call” at an architect’s office. The specifier was busy, so I left my card with the receptionist. As I walked to my car, the specifier called me back. When we met, I asked him why he’d come out, his response was: “Because you’re a CTR.”

This third story still blows my mind. I was asked to accompany my international sales director to present in Dubai. During a chat with Corinne Golding, I mentioned where I was going and that we’d had no luck meeting with a particular firm. Later that day, I received an email from the regional director of that firm, asking when we’d be arriving and offering to make any accommodations necessary to meet with us. It turns out they went to school together!

So, if anyone reading this doubts the power of CSC, its members, and the value of education our association brings, I urge you to look a little further.

I wish you, your families, and friends a joyful holiday season and a very happy 2025.

I am CSC.

 

Le réseautage et l’éducation favorisent la réussite

On me demande souvent : « Où trouvez-vous le temps de faire du bénévolat pour DCC? »

Ma réponse : parce que mon patron me l’a demandé.

Blague à part, ce n’est pas vraiment une question pour moi—je trouve du temps pour DCC. Pourquoi? L’association m’a donné tant tout au long de ma carrière. Elle m’a permis de nouer des amitiés durables, m’a aidé à exceller dans mon travail et m’a offert une éducation et des expériences inestimables. J’espère les transmettre aux autres comme elles me sont transmises.

À l’assemblée générale annuelle, j’ai fait valoir que l’un de mes principaux objectifs pendant mon mandat—et au-delà—est de mettre l’accent sur l’éducation et la certification, qui vont de pair—comme le thème de l’émission Married with children dit : l’un de va pas sans l’autre. Leur valeur dans notre industrie est indéniable, et DCC ouvre la voie dans les deux aspects. Nos cours et certifications sont de premier ordre, et l’apprentissage va au-delà de la formation formelle par le biais d’interactions quotidiennes avec les membres. Vraiment inestimable.

J’aimerais partager trois petites histoires personnelles à ce sujet.

Si vous avez vu ma vidéo sur le site de DCC, n’hésitez pas à sauter ce paragraphe. Mon premier dîner de travail à DCC a eu lieu au début de 1997, peu après mon entrée dans l’industrie. J’étais assis entre deux prescripteurs influents, Sandro Ubaldino et Don Shortreed. Ils ont généreusement pris le temps de me présenter à plusieurs personnes, aidant ainsi à jeter les bases de futures connexions.

Une autre fois, alors que je voyageais pour le travail, j’ai eu du temps libre entre les rendez-vous et j’ai décidé d’essayer le « coup de fil au hasard » redouté au bureau d’un architecte. Le prescripteur était occupé, alors j’ai laissé ma carte à la réceptionniste. En allant à ma voiture, il m’a rappelé. Quand nous nous sommes rencontrés, je lui ai demandé pourquoi il avait fait cette démarche. Sa réponse a été : « Parce que vous êtes un RTC ».

Cette troisième histoire m’étonne toujours. J’ai été invité à accompagner mon directeur des ventes internationales pour une présentation à Dubaï. Au cours d’une conversation avec Corinne Golding, j’ai mentionné où je voulais aller et que nous n’avions pas eu de chance de rencontrer une entreprise en particulier. Plus tard dans la journée, j’ai reçu un courriel du directeur régional de cette entreprise, me demandant quand nous allions arriver et offrant de faire les aménagements nécessaires pour nous rencontrer. Il s’avère qu’ils sont allés à l’école ensemble!

Donc, si quelqu’un qui lit ceci doute du pouvoir de DCC, de ses membres et de la valeur de l’éducation que notre association apporte, je vous exhorte à regarder un peu plus loin.

Je vous souhaite, à vous et à vos familles, ainsi qu’à vos amis, un joyeux temps des fêtes et une très heureuse année 2025.

Je suis DCC.

Endnotes:
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